L’écrivain français Maxime Vivas a publié récemment un livre intitulé « Ouïghours, pour en finir avec les fake news », ouvrage dans lequel il a parlé de ses expériences personnelles au Xinjiang et mis à nu les mensonges montés par certains médias occidentaux sur cette région chinoise.

L’auteur du livre confirme avoir vu une grande population ouïgoure et beaucoup de mosquées au Xinjiang. Il dit également avoir vu des écoles dans lesquelles les professeurs enseignent en mandarin et en ouïgoure. Dans son livre, Maxime Vivas a aussi souligné le fait que plusieurs chefs cuisiniers préparaient des plats hallal…Des scènes qu’on n’arrive pas à imaginer en Europe où l’on reprend des rumeurs sur le « génocide » des Ouïgours au Xinjiang. Mais quand on se trouve réellement au Xinjiang, vous trouverez que le soi-disant génocide n’est absolument pas la vérité, décrit Maxime Vivas dans son livre.

Jerry Gray, un policier britannique à la retraite qui s’est rendu cinq fois dans cette région, éprouve des sentiments similaires. « Je préfère croire en ce que je vois » plutôt qu’au récit des médias occidentaux », dit-il.

Lors d’une vidéoconférence organisée ces derniers jours au Xinjiang, Kawa Mahmud, secrétaire général du Parti communiste du Kurdistan de l’Iraq, a dit que les mesures prises varient d'un pays à l'autre, il en est de même des solutions qui en résultent. Je crois que les mesures anti-terroristes et contre la radicalisation que la Chine a prises au Xinjiang ont fait leurs preuves, a-t-il affirmé.

Plus de 300 invités, dont des dirigeants de plus de 190 partis politiques et d'organisations internationales de plus de 80 pays, ont participé à cette réunion en ligne, dont beaucoup étaient allés jusqu’au Xinjiang et ont partagé ce qu’ils ont vu dans cette région, notamment des changements que connaît le Xinjiang. Les photos, les vidéos et les données présentées lors de la conférence, ont reflété les réalisations du Xinjiang dans la lutte contre le terroriste, l’extrémisme, la pauvreté. Elles ont démontré la solidarité ethnique qui règne dans cette région et ont confirmé tout ce que ces personnalités politiques étrangères avaient dit bien avant.

En même temps, lors de la réunion de haut niveau de la 46ème session du Conseil des droits de l'homme des Nations unies à Genève, le conseiller d’Etat et ministre des Affaires étrangères chinois, Wang Yi, a, dans un message vidéo, souligné qu’il n’y a jamais eu de « génocide », de « travail forcé » ou d’« oppression religieuse » dans la région du Xinjiang. La Chine, avait réaffirmé le patron de la diplomatie chinoise, s'oppose à l'utilisation des questions relatives aux droits de l'homme pour s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays.

Si l’on passe en revue les reportages des médias occidentaux tels que la BCC, le « New York Times » et la CNN, il apparait clairement que leurs reportages sont truffés des préjugés idéologiques profondément enracinés.

Par exemple, BBC a interviewé dans son émission « Newsnight » une Ouïgoure au nom de Zumrat Dawut, qui se disait de la stérilisation forcée dans un centre d’éducation et de formation. La réalité : elle n’a jamais suivi des cours dans aucun centre d’éducation et de formation. Plusieurs autres informations qu’elle a révélées, ont également été démenties par les membres de sa propre famille.

Sur plus de 40 reportages de la BBC sur le Xinjiang depuis août dernier, 30 n'ont pas d’auteur. De plus, la plupart de ces reportages anonymes s’appuient sur des informations de seconde main.

Aussi curieux que cela puisse paraître, les preuves présentées par ces médias occidentaux sont principalement les recherches douteuses d’Adrian Zenz, un chercheur anti-Chine, tristement réputé. Récemment, le site d’informations indépendant américain « Grayzone » a révélé que les rapports d’Adrian Zenz accusant la Chine de « génocide » au Xinjiang étaient une déformation malveillante des faits. De 2010 à 2018, avec un taux de croissance démographique de 25%, la population ouïgoure au Xinjiang a augmenté environ de 2.55 millions, dépassant de loin les 13.99% de la population du Xinjiang et les 2% de la population de l’ethnie han pendant la même période. D’où vient alors ce soi-disant génocide ?

Les mensonges ne cachent pas la vérité. La porte du Xinjiang est toujours ouverte à quiconque qui veut entrer. Plus de 1 200 diplomates, journalistes, et personnalités religieuses en provenance de plus de 100 pays ont visité le Xinjiang durant les années passées. La Chine a également envoyé l’invitation à l’Union européenne et ses pays membres, mais sans réponse jusqu’à présent. Les Etrangers sont les bienvenus au Xinjiang. Ce qu’ils verront et entendront prouvera que les fausses nouvelles sur le Xinjiang concoctées par les médias occidentaux ne sont rien d’autre qu’un mensonge indécent !