MONDE
Le « marionnettiste » qui tire les fils dans les « coulisses » des turbulences mondiales
        
2022-04-13 09:42 | le Quotidien du Peuple en ligne

Depuis le déclenchement du conflit entre la Russie et l'Ukraine, les États-Unis n'ont cessé de livrer des armes à l'Ukraine, de lancer des sanctions et d'imposer un véritable siège contre la Russie, ne cessant d'attiser les flammes.

Si les États-Unis se souciaient vraiment du peuple ukrainien, ils devraient s'efforcer de favoriser la paix plutôt que de continuer à fournir des armes. Derrière l'« ajout continu d'huile sur le feu » des États-Unis, il y a leur horrible visage, celui d'essayer de consolider leur position hégémonique en intensifiant les contradictions.

En regardant l'histoire, nous pouvons constater que les États-Unis sont pourtant habitués depuis longtemps à exporter la guerre et à en tirer profit. Depuis la déclaration d'indépendance du 4 juillet 1776, dans leur histoire de plus de 240 ans, les États-Unis n'ont pas participé à une guerre que pendant moins de 20 ans. Selon des statistiques incomplètes, de la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945 à 2001, 248 conflits armés se sont produits dans 153 régions du monde, dont 201 ont été initiés par les États-Unis, soit environ 81%.

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et l'OTAN ont continué à créer des turbulences dans le monde par le biais d'invasions directes et d'interventions indirectes : au Guatemala, à Cuba, au Vietnam et au Congo, au Nicaragua, en Irak, en République fédérale de Yougoslavie, en passant par l'Afghanistan, la Libye et la Syrie... L'ombre des États-Unis est souvent derrière les différends et les conflits mondiaux. Les États-Unis méritent amplement le titre de « marionnettiste » qui tirent les fils dans les coulisses de la création de turbulences mondiales. Les États-Unis ne se soucient jamais de la paix et du développement dans le monde et provoquent fréquemment des troubles, et tout cela n'est qu'un jeu politique auquel ils se livrent pour leur propres intérêts.

(Par Chen Zi)

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